En orchestrant, en juillet, le report des législatives et municipales prévues en 2025, pour ne laisser dans l’agenda que l’élection présidentielle, le chef de l’État camerounais reste fidèle à une tradition : dicter à sa discrétion, à coup d’arguments divers, le rythme de la vie politique du pays. Quitte à susciter les dénonciations de ses adversaires.
En orchestrant, en juillet, le report des législatives et municipales prévues en 2025, pour ne laisser dans l’agenda que l’élection présidentielle, le chef de l’État camerounais reste fidèle à une tradition : dicter à sa discrétion, à coup d’arguments divers, le rythme de la vie politique du pays. Quitte à susciter les dénonciations de ses adversaires.
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