Perturbation de l’année scolaire :
le MEN met en garde les enseignants qui “appellent à des débrayages pour des raisons non scolaires.”
Le système éducatif est actuellement perturbé par des séries de débrayages qui impactent l’enseignement moyen secondaire. Après deux semaines de perturbations, le ministère de l’éducation nationale est sortie de sa réserve pour dénoncer de tels agissements.
En effet, dans une note rendue publique, le MEN fait constater que “des syndicats d’enseignants se réclamant d’un mouvement dénommé « Cadre de concertation des syndicats de l’enseignement » appellent à des débrayages pour des raisons non scolaires.”
Ces perturbations fâcheuses, selon le MEN “affectent le déroulement du calendrier scolaire mettant ainsi en péril le droit à l’éducation des éléves.” Ainsi, le MEN rappelle que “si le droit de grève est reconnu aux travailleurs par la Constitution, il s’exerce dans le cadre des lois qui le régissent. Ceux qui cessent le travail en violation des dispositions réglementaires peuvent immédiatement subir toutes sanctions disciplinaires.
Il en est de même si la cessation du travail est fondée sur des motifs politiques et non pas sur des motifs professionnels”, a tenu à préciser le ministère de l’éducation nationale.
À cet effet, relate la note, “le Gouvernement prendra, en toute responsabilité et en toute rigueur, les dispositions idoines pour le respect de la réglementation et la continuité des enseignements-apprentissages.”
Cependant, le département dirigé par Cheikh Oumar Anne, “salue le sens des responsabilités et la posture républicaine de la majorité des enseignants qui continuent à œuvrer pour l’émergence d’un système éducatif performant et résilient.”
Pour finir, le ministère de l’Education nationale réaffirme sa volonté et son engagement “à fournir une éducation de qualité à tous les élèves et à assurer leur bien-être et leur sécurité dans les écoles et établissements scolaires”, conclut la même note…
Ces perturbations fâcheuses, selon le MEN “affectent le déroulement du calendrier scolaire mettant ainsi en péril le droit à l’éducation des éléves.” Ainsi, le MEN rappelle que “si le droit de grève est reconnu aux travailleurs par la Constitution, il s’exerce dans le cadre des lois qui le régissent. Ceux qui cessent le travail en violation des dispositions réglementaires peuvent immédiatement subir toutes sanctions disciplinaires.
Il en est de même si la cessation du travail est fondée sur des motifs politiques et non pas sur des motifs professionnels”, a tenu à préciser le ministère de l’éducation nationale.
À cet effet, relate la note, “le Gouvernement prendra, en toute responsabilité et en toute rigueur, les dispositions idoines pour le respect de la réglementation et la continuité des enseignements-apprentissages.”
Cependant, le département dirigé par Cheikh Oumar Anne, “salue le sens des responsabilités et la posture républicaine de la majorité des enseignants qui continuent à œuvrer pour l’émergence d’un système éducatif performant et résilient.”
Pour finir, le ministère de l’Education nationale réaffirme sa volonté et son engagement “à fournir une éducation de qualité à tous les élèves et à assurer leur bien-être et leur sécurité dans les écoles et établissements scolaires”, conclut la même note…
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