Quelques jours avant le ramadan : Unacois/Yessal dénonce la hausse des prix des denrées les plus consommées

Les prix des denrées sont en hausse. Raison pour laquelle, les membres de l’Unacois/Yessal interpellent les autorités, quelques jours avant l’entame du Ramadan. Une déclaration a été faite au niveau de leur siège.

La rencontre avec la presse et qui avait été tenue au niveau du siège de l’Unacois/Yessal a été une occasion pour d’abord dénoncer la rareté et la cherté des denrées de première nécessité. Selon le porte-parole du jour, « cette situation risque de porter préjudice aux sénégalais durant le ramadan. Il y a également une augmentation sur les prix en ce moment où les yeux restent rivés sur les élections présidentielles ». Après avoir présenté leurs condoléances aux familles des victimes. Elle souhaite une bonne guérison aux malades. Elle met en exergue la situation politique qui risque de se répercuter sur la conjoncture économique et sociale du pays. D’après toujours les membres de l’unacois/Yessal, « jusqu’à présent les conséquences issus du COVID-19 continue de se faire sentir sur l’économie du pays avec la hausse des prix. Avec l’ensemble des informations reçues sur l’étendue du Sénégal qui nettement un déficit des stockages des denrées de la première nécessité comme le riz indien le sucre et huile continue de faire flamber les prix. Sur ce, nous demandons à l’état d’ouvrir les portes de l’importation. Car l’oignon et la pomme de terre sont suffisants sur le marché sénégalais ». Au-delà du volet économique, l’unacois Yessal s’active dans le social offrant des bourses d’études aux élèves et étudiants dans plusieurs pays tels qu’en génie civil transport logistique informatique gare et pétrole. Cela débute de 2021  jusqu’à aujourd’hui. C’est pourquoi conscients des dangers qui guette le Sénégal en dehors des pertes humaines notre économie s’est fortement dégradée.  Cette situation politique est déplorable et induit à l’inflation des prix sans aucune mesure. Par ailleurs il faut noter que l’instabilité politique et sociale conduirait le Sénégal dans le chaos et au-delà  de la sous-région car notre chère Sénégal occupe une place importante dans les échanges économiques et monétaires de l’Afrique de l’ouest dont l’économie informelle est au centre des trocs. En effet pour un Sénégal apaisé, il serait préférable de préserver le tissu social pour notre salut à tous. Ainsi les membres du l’unacois interpellent les autorités et les politiques de tout bord à la concertation afin d’éviter le drame. C’est pourquoi nous rappelons le président de la république  gardien de la constitution d’organiser l’élection présidentielle dans les règles de l’art pour la survie de la république, disent-ils.

Dieynaba Camara