Son nom est Aly Ndiaya Diouf. Ses amis et proches l’appellent souvent Ndiaya Diouf. Il est humble, modeste et honnête, mais aussi sincère à travers tout ce qu’il fait dans la vie surtout quand il s’agit de livrer de bonnes informations à la Rts. Bon ! Ndiaya Diouf inspire toute une génération car c’est un journaliste rempli de talent et il ne badine pas avec ce métier qu’il exerce depuis plus de dix ans. Ses vrais amis sont ceux qui sont sur le droit chemin. Aly est un encore musulman qui ne rate jamais les 5 prières de sa religion. Marié et responsable de famille, le « chasseur d’infos » aime sa famille respective. Il respecte ses parents. Il ne néglige jamais ses amis d’enfance. Son éthique de la vérité mise au service des faits rapportés et adossée à la déontologie du journalisme qui veut informer des citoyens libres et éduqués en mesure de choisir en connaissance de cause. C’est ici (chez lui) que l’éthique de la vérité recoupe l’éthique de la responsabilité. Un homme attentionné mais aussi très rejeté. « Ndioufa » a su échapper à la maladie qui gangrène aujourd’hui une partie de la presse sénégalaise et dans le monde, à savoir la flagornerie, la corruption, la tromperie, peu importe qu’elle soit active ou passive. « Mo Way » ! Il exerce son métier sans paresse. Il travaille sans rien attendre de qui que ce soit. Raison pour laquelle, il a un nom. Ses amis ne vont pas dire le contraire. L’éthique de la vérité et de la responsabilité ne vont jamais sans un amour réel et immodéré de la liberté. C’est ce qui a compris Aly Ndiaya Diouf qui « roule » avec un esprit libre. Libre de ses propos, libre de ses positions, libre de ses engagements, libre de ses principes, bien sûr libre, oui, il est libre. Des postes de responsabilité ne l’empêchent pas de dormir. Et pourtant, des propositions concrètes lui étaient faites dans un sens très positif à cause de son comportement et de son professionnalisme. « Bilaay Ya Baax ». Au triptyque vérité-responsabilité-liberté, Ndiaya Diouf ajoute alors de la dignité. Car l’on ne saurait acheter Aly ni le faire taire par un bâillon d’argent, ni pour le faire peur ou pour le faire décourager. C’est donc, un véritable homme de principe. Il a l’habitude de dire à travers des débats dont-il assiste pendant des rencontres (entre confrères) que, « la dignité n’a pas de prix ». Son plat préféré est le « Yassa » poulet. Aujourd’hui, il sert à la Radio Télévision Sénégalaise où il est très respecté à cause de son comportement, son professionnalisme, sa disponibilité, son savoir faire, sa dignité…. Ndiaya Diouf est donc un talentueux journaliste qui inspire toute une génération !
- M.
